Tu es à la plage pour profiter des plaisirs de la mer. soudain tu aperçois un enfant entrain de se noyer. tu cours pour le sauver. raconter ce qui s'est passé et décris les sentimens que tu as éprouvés. svp aider moi seulement à décrire la plage, le ciel, le sable, les vagues , les coquillages je voudrais commencer par décrire la plage et puis je continue pour annoncer l'événement inattendu de ce récit. d'avance
Réponses: 1
Bonjour,
Des petites idées :
- Avec ses sables doux et dorés
- Son sable est d'un blanc immaculé
- Une plage longue et large, avec peu de vagues et une eau claire et limpide.
- de puissantes vagues s'échouant sur le rivage
- Dans le ciel bleu clair on peut voir de gros nuages blancs ou entendre les cris des mouettes.
- Les petites vagues s’écrasent lourdement sur la plage, là ou le sable est léger, blanc et recouvert de petits coquillages de toutes formes.
- à l’horizon, des bateaux
- On sent un brin d’air léger agréable, une odeur d’air iodé apportée par la mer
, voici une rédation : les deux chevaliers se sont posés l’un en face de
l’autre à une centaine de mètres. ils sont tous les deux magnifiquement vêtus.
le chevalier yvain porte une cotte de maille rouge vif et toute lamée
d’or. le heaume qui lui protège la tête et le cou est aussi entièrement
recouvert d’or. il porte à son bras l’écu finement décoré qui le protègera des
coups fatals de son adversaire. son destrier, fort et vif, hennit déjà
d’impatience. en face se tient le chevalier arthur, tout de blanc vêtu.
son heaume et son écu sont couleur de neige et tous deux recouverts d’argent.
le destrier qu’il monte est aussi entièrement blanc. l’armure des deux
chevaliers est impressionnante ; à la main ils portent une lance à la pointe
ferrée, à la ceinture une épée grande et tranchante et aux pieds des éperons pointus.
ils avaient fière allures. les deux chevaliers s’élancèrent. dès le premier choc, leurs lances se brisèrent
les épées, en tombant sur les mailles d'acier, en faisaient jaillir des gerbes
d'étincelles.
yvain s’élance vers arthur avec une telle force que sa lance
heurte ….. et vole en éclats. aussitôt il tire son épée,
la lève et l’assène. yvain l’attaque encore de son épée, et le frappe
aux flancs d’un coup si violent qu’il retentit
dans les airs.
j'espère t'avoir aidé : )
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il me semble que la suspension releve des prérogatives de la modération tandis-que la suppression est du ressort du.
bonne journée.
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